Pour mon fils anglophone, l’enseignement français est un véritable atout pour le futur

Après avoir vécu au Royaume-Uni puis en France, Kerry Longhurst a pris la décision de s’installer à Varsovie en 2010. Malgré ses origines britanniques, elle a choisi d’inscrire son fils Oskar au Lycée français de Varsovie, qui a obtenu son Baccalauréat en 2017. Aujourd’hui, elle nous confie les raisons qui l’ont poussée à choisir le LFV et nous parle de l’expérience de son fils au sein de l’établissement…

En tant que mère de nationalité britannique, pourquoi avoir fait le choix de l’enseignement scolaire français pour votre enfant ?

J’ai choisi l’école française parce qu’elle propose une éducation scolaire de haut niveau et qu’elle stimule les enfants à être des apprenants actifs et des jeunes gens responsables.

De plus, le français reste une langue qui est parlée dans le monde entier et passer par le système éducatif français donne un avantage conséquent dans la vie quand on a une perspective internationale.

Par rapport à d’autres établissements scolaires à Varsovie, qu’est-ce qui vous a convaincu d’inscrire votre fils au LFV ?

Le LFV est à la fois un lieu d’enseignement exigeant en termes de connaissances, mais aussi un lieu où se côtoient de multiples nationalités au quotidien. À ce titre, c’est une école vraiment internationale.

En outre, les enseignants de l’établissement sont des professionnels qualifiés, qui sont engagés auprès des élèves, et qui enseignent des savoirs et des compétences d’un très bon niveau.

Le diplôme du baccalauréat français qui est obtenu à la fin du cursus, lui, est aussi reconnu et respecté dans l’ensemble du monde, y compris dans l’enseignement supérieur anglophone.

Selon vous, quels sont les principaux atouts du LFV ?

En tant que parent, j’ai apprécié le fait que les enseignants, comme la direction, restaient disponibles pour répondre à mes questions ou mes demandes, qu’elles soient basiques ou plus importantes. Ils ont toujours pris le temps de m’expliquer les spécificités du système scolaire français avec lesquelles je n’étais pas familière.

Pour ce qui concerne les élèves, je pense que les enseignants les traitent avec respect et que les méthodes d’enseignement qui sont pratiquées permettent de nourrir leur curiosité intellectuelle. De plus, la progression et l’évolution des élèves comptent réellement pour l’équipe enseignante, ce qui est capital.

Quelles expériences ont, d’après vous, marqué Oskar durant ses années à l’école française ?

Mon fils a vraiment apprécié sa scolarité au LFV. Il a reçu là-bas une éducation de premier ordre et a atteint un niveau de français équivalent à celui d’un natif, ce qui le distingue clairement de ses pairs qui sont passés par une école internationale anglophone.

Mon fils s’est aussi fait des amis pour la vie au lycée : son réseau de copains et copines avec lesquels il est toujours en contact s’étend aussi bien en Europe qu’au-delà.

Le fait d’avoir des cours de français a-t-il affaibli la capacité de parler anglais de votre fils ?

Recevoir un enseignement francophone n’a pas affaibli et a encore moins bouleversé le niveau d’anglais de mon fils. Nous continuions à parler anglais à la maison, et de son côté, il lisait et regardait des films en anglais et français.

Il faut aussi savoir qu’une fois son baccalauréat en poche, mon fils a intégré l’Université de Nottingham au Royaume-Uni, où il a pu suivre son cursus sans aucune difficulté linguistique, pour étudier la philosophie. L’Université s’est d’ailleurs réjouie de pouvoir accueillir un bachelier issu d’un lycée français.

Recommanderiez-vous le LFV à d’autres parents anglophones qui souhaitent inscrire leur enfant dans une école internationale ? Pourquoi ?

À partir de mon expérience et celle d’autres familles anglophones que j’ai pu rencontrer, je ne peux que recommander le LFV.

Selon moi, les enseignements sont d’un bon niveau et l’encadrement y est bienveillant et motivant.

Les élèves anglophones en ressortent avec un haut niveau de français, ce qui leur donne un avantage par rapport à ceux qui n’ont développé que l’anglais comme dans la plupart des écoles internationales.

Le coût de la scolarité est aussi à prendre en compte : le LFV est moins cher que les autres écoles internationales varsoviennes, ce qui rend son rapport qualité-prix significativement plus élevé.